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Neymar : rêves brisés
Neymar : rêves brisés

Au mois de janvier dernier, Radamel Falcao voyait ses rêves de Coupe du Monde brisés. Lors d'un banal match de Coupe de France, la star des Cafeteros se donnait une rupture des ligaments croisés à la suite d'un tacle du défenseur de Chasselay, Soner Ertek. Le peuple colombien séchait ses larmes et certains laissaient même exploser leur colère sous la forme de menaces de mort à l'adresse du “coupable”. Il n'est pas rare que l'histoire connaissent quelques bégaiements. Sans doute, êtes-vous même en train de vous demander si votre serviteur n'est pas atteint de problèmes mémoriels. A dire vrai, le forfait de Neymar rappelle, à s'y méprendre, celui de l'attaquant de Monaco. Si la gravité et la nature de leur blessure différent sensiblement, les conséquences embrassent un parralèle troublant.
Ce qui devait être “sa” Coupe du Monde s'achève ainsi sur des larmes et une bonne dose de frustration. Neymar, à la suite d'une charge, genou en avant, du... colombien Zuniga souffre d'une fracture des vertèbres. Le diagnostic a donc confirmé ce que lassait présager son rictus sur son visage. Allongé sur la pelouse et se tordant de douleur, le génial brésilien se doutait probablement qu'il ne serait pas rétabli pour la suite de la compétition. « Ils m'ont privé du rêve de disputer la finale de la Coupe du monde, a lâché, ému, le Barcelonais. Mais le rêve d'être champion du monde n'est pas encore terminé. Il reste deux matches et je suis certain que mes partenaires feront tout leur possible pour soulever cette coupe. » C'est peu dire que la tâche s'annonce délicate. Sans son maître à jouer, la Seleçao devra se réinventer une identité de jeu et ses armes offensives devront se montrer bien plus inspirées.
Car voilà, le dépositaire du jeu du Brésil avait jusqu'ici répondu aux énormes attentes que son peuple avait placées en lui, guidant son équipe avec brio. Et les menaces de mort qui ont fleuri sur la toile quelques minutes après l'annonce de son forfait n'en sont que le cru témoignage. S'il avait été manifestement psychologiquement touché par la crispante séance de tirs au but face au Chili en huitièmes de finale, éclatant en pleurs une fois la qualification actée, il avait tout de même trouvé les ressources nécessaires pour sereinement inscrire son pénalty. Un signe fort pour un gamin de 22 ans qui n'avait fait que confirmer que l'étendue de sa classe (4 burs marqués en 5 rencontres). Ciblé comme le joueur à museler, il a subi tout au long du tournoi un traitement particulier. A plusieurs reprises, on l'avait déjà vu grimaçant face au Chili devant les chocs reçus. Celui donné par Zuniga lui aura été fatal. Au Brésil aussi ?

Au mois de janvier dernier, Radamel Falcao voyait ses rêves de Coupe du Monde brisés. Lors d'un banal match de Coupe de France, la star des Cafeteros se donnait une rupture des ligaments croisés à la suite d'un tacle du défenseur de Chasselay, Soner Ertek. Le peuple colombien séchait ses larmes et certains laissaient même exploser leur colère sous la forme de menaces de mort à l'adresse du “coupable”. Il n'est pas rare que l'histoire connaissent quelques bégaiements. Sans doute, êtes-vous même en train de vous demander si votre serviteur n'est pas atteint de problèmes mémoriels. A dire vrai, le forfait de Neymar rappelle, à s'y méprendre, celui de l'attaquant de Monaco. Si la gravité et la nature de leur blessure différent sensiblement, les conséquences embrassent un parralèle troublant.

Ce qui devait être “sa” Coupe du Monde s'achève ainsi sur des larmes et une bonne dose de frustration. Neymar, à la suite d'une charge, genou en avant, du... colombien Zuniga souffre d'une fracture des vertèbres. Le diagnostic a donc confirmé ce que lassait présager son rictus sur son visage. Allongé sur la pelouse et se tordant de douleur, le génial brésilien se doutait probablement qu'il ne serait pas rétabli pour la suite de la compétition. « Ils m'ont privé du rêve de disputer la finale de la Coupe du monde, a lâché, ému, le Barcelonais. Mais le rêve d'être champion du monde n'est pas encore terminé. Il reste deux matches et je suis certain que mes partenaires feront tout leur possible pour soulever cette coupe. » C'est peu dire que la tâche s'annonce délicate. Sans son maître à jouer, la Seleçao devra se réinventer une identité de jeu et ses armes offensives devront se montrer bien plus inspirées.


Car voilà, le dépositaire du jeu du Brésil avait jusqu'ici répondu aux énormes attentes que son peuple avait placées en lui, guidant son équipe avec brio. Et les menaces de mort qui ont fleuri sur la toile quelques minutes après l'annonce de son forfait n'en sont que le cru témoignage. S'il avait été manifestement psychologiquement touché par la crispante séance de tirs au but face au Chili en huitièmes de finale, éclatant en pleurs une fois la qualification actée, il avait tout de même trouvé les ressources nécessaires pour sereinement inscrire son pénalty. Un signe fort pour un gamin de 22 ans qui n'avait fait que confirmer que l'étendue de sa classe (4 burs marqués en 5 rencontres). Ciblé comme le joueur à museler, il a subi tout au long du tournoi un traitement particulier. A plusieurs reprises, on l'avait déjà vu grimaçant face au Chili devant les chocs reçus. Celui donné par Zuniga lui aura été fatal. Au Brésil aussi ?

2014-07-07 13:18:14
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